12/07/2016
Ninja Warrior, le parcours des héros
5 millions de téléspectateurs devant TF1 pour le premier épisode de sa nouvelle émission "Ninja Warrior" ce vendredi 8 juillet. Le jeu met en scène des candidats venus de toute la France pour des épreuves et une succession d'obstacles. Un divertissement de grande envergure exigeant un dispositif complexe.
TF1 est l'un des premiers diffuseur européens à décliner le concept japonais "Ninja Warrior". Un véritable show sous la forme d'un défi sportif hors normes. Cette nouvelle émission, présentée par Christophe Beaugrand, Denis Brogniart et Sandrine Quetier nous plonge en effet dans "le plus redoutable des parcours", celui des héros. Le principe ? 160 candidats tentent d'affronter le long d'un circuit, un ensemble d'épreuves physiques dont la difficulté va grandissante. Après les sélections et les demi-finales, la finale réunira les meilleurs qui, peut-être, pourront aller au bout et remporter le jeu.
La version française, sous la houlette de TF1 Productions, a donc été tournée au mois d'avril sur le port de Cannes. Le jeu se déroule sur une énorme structure éphémère qui permet d'aligner les épreuves. Les moyens de tournage, autour du car Millenium 8, comprenaient 12 caméras (dont 4 en HF), deux grues dont une sur un travelling voiture et 8 paluches. Ces dernières, destinées à être placées sur le parcours au plus près des candidats étaient ainsi installées et désinstallées au gré de l'enchainement des épreuves.
Tous les câblages de toutes les positions caméras ont pu être mises en place dans le décor en deux jours avant le début des tournages nocturnes : trois jours pour les qualifications, une journée pour les demi-finales et une journée pour la finale. Un travail extrêmement concentré pour les vingt-cinq techniciens de l'image et du son.
Ninja Warrior est diffusé en cinq émissions cet été le vendredi soir sur TF1 en première partie de soirée.
http://www.tf1.fr/tf1/ninja-warrior
NINJA WARRIOR
- Production : TF1 Productions
- Réalisation : Tristan Carné
- Lumière : Fréderic Dorieux
Mots-clés : M8